فيديو: المفوض الأممي لحقوق الإنسان: المغرب نموذج يحتدى به في مكافحة التطرف
Obnubilé par sa volonté de continuer à jouir des bonnes grâces de ses employeurs en s’évertuant à les séduire par sa hardiesse dans le traitement frondeur qu’il réserve à l’actualité du Royaume, le scribouillard marocain de l’AFP n’a pas hésite à exploiter la position exprimée par l’OMDH au sujet de l’octroi du statut d’officier de la police judiciaire aux fonctionnaires de la DST, pour concocter une dépêche dans le souci de susciter une nouvelle controverse autour de l’action des services de sécurité, les accusant sans détour d’être à l’origine de l’emprisonnement du journaliste Rachid Niny, pour le seul fait que ce dernier se soit aventure a les mettre en cause dans ses écrits. L’auteur de cette dépêche, sait plus que toute autre personne, que lorsqu’il avait rédigé un article sur les services secrets et leurs dirigeants, du temps ou il assumait la responsabilité de rédacteur en chef du défunt « journal hebdomadaire », il n’avait fait l’objet d’aucune poursuite judiciaire pour les facéties qu’il avait publiées. Mais malgré tout, cela ne l’a pas empêché d’imaginer que les marocains ont la mémoire courte, et qu’il peut continuer à donner libre cours à ses élucubrations en élaborant des dépêches destinées à satisfaire l’esprit tendancieux de l’opinion publique française, tout en les libellant à l’encre de l’ex-publication du« journal hebdomadaire », à laquelle il consacrait tout son temps au détriment d’étudiants à la faculté de droit à Settat, tout en cumulant le salaire d’enseignant et de journaliste. Rachid Niny a été poursuivi pour avoir publié des mensonges sur le compte de plusieurs institutions, comme l’avait fait auparavant Omar Brouksy, qui sans pouvoir légalement prouver une seule de ses inepties, avait affreusement diffamé des officiers supérieurs des Forces Armées Royales, des responsables des services de renseignement, des gouverneurs et des magistrats en les accablant de tous les maux. Le plumitif, Rachid Niny se faisait rétribuer pour ses articles fielleux qui lui étaient commandites par un operateur financier bien connu, soucieux d’éradiquer tout ceux qui critiquaient ses pratiques affairistes dans le secteur économique. Le directeur de publication du journal « Al Massae » monnayait ses services au profit de lobbies qui s’attaquaient a des institutions interdites, de par leur statut spécial, de communiquer avec l’opinion publique afin de démentir les mensonges les visant et ce, jusqu’à ce que l’état et la justice aient décidé de mettre un terme aux insanités de ce journaliste mercenaire, qui n’a pas été en mesure de fournir la moindre preuve pour étayer les dénigrements dont il criblait les hommes d’honneur de ce pays qui défendent dans la plus grande discrétion les intérêts suprêmes de la Nation. Niny a taxé les hauts gradés des far de pilleurs de sable et a qualifié les magistrats d’homosexuels. Ce journaliste jouait à un jeu dont il n’avait cure de ses règles, et auquel s’était également livré le sieur Omar, détenteur d’un salaire du ministères de l’enseignement supérieur marocain et d’un autre dispensé par l’Etat français. Omar le franchouillard devrait se souvenir des dossiers qu’il avait publié sur les colonnes de l’ex-« journal hebdomadaire » et se rappeler de la personne qui les lui fournissait, avant que celle-ci ne le révoque en le jetant dans la rue comme un malpropre. « Omar le franchouillard » semble oublier qu’après avoir répudié sa femme, il s’est déployé, en quête d’une compagne, mettant à profit son poste en tant qu’enseignant et journaliste au sein du magazine « Le journal ». Il importe de s’interroger sur la nature des informations qui intéressent Omar actuellement. Il aurait dû recourir à la documentation française pour puiser de l’expérience des services de renseignement de l’hexagone, ayant été assujettis à une certaine époque, au contrôle judiciaire. Il est de notoriété que les services de renseignement de par le monde opèrent sous la responsabilité du chef de l’Etat au moment ou leurs structures chargées de l’instruction agissent sous le contrôle judiciaire. Alors pourquoi Omar et ses sources et relais n’admettent pas que le Maroc dispose d’une centrale de renseignement de type « FBI » ou « DCRI » française, d’officiers de police judiciaire chargés des investigations et de locaux de garde à vue contrôlés par le Ministère public. Il est certain que cela permettra de tirer le tapis sous les pieds de ceux que la transparence contrarie. L’organisation « Human Right Watch », sur laquelle se base la dépêche pour émettre des jugements de valeurs sur la prestation des services marocains, devait plutôt s’intéresser au sort des prisonniers détenus par les américains en Irak et à Guantanamo. J’aurais aimé voir « Omar le franchouillard » écrire une seule fois sur les anciens de Guantanamo et éplucher les archives de H.R.W afin de connaître les dispositions que celle-ci a prises pour assurer leur défense ou, du moins, inciter les autorités judiciaires américaines à enquêter sur le bien-fondé de leurs assertions. « Omar le franchouillard » s’était tu lorsque des forces spéciales américaines avaient attaqué l’imam yéménite Al Awkali au cœur même du Yémen. Il observe également le mutisme quand il s’agit de la défense des intérêts de la France à l’étranger ou encore dans l’affaire du ministre (français) accusé de pédophilie à Marrakech. Pourquoi n’a-t-il pas mis à profit le « capital éthique » de l’ex-« journal » pour renouer avec le journalisme d’investigation -qui lui est si cher- en menant une enquête à Marrakech afin de faire la lumière sur les victimes des « libidineux » de la gauche française. En ces temps là, Omar assurait son gagne-pain grâce à la France et se gardait de se mêler même à des affaires qui le concernaient pourtant, alors qu’aujourd’hui, il a tout le loisir de brouiller les cartes et de rendre médiatiquement des services commandés à celui qui a reçu pour ordre de parrainer l’affaire « Charef », cousue de fil blanc et dont personne n’ignore l’imposture